Léon Luciani, président de l'ACA, à l'heure des retrouvailles officielles : Bonjour l'émotion
Beaucoup n’ont guère changé, à l’image de Lulu Accorsi qui tient la ligne, Roger Tomei, toujours aussi longiligne, Coco Giraud et son hygiène de vie, mieux en tout cas que certains qui ont préféré la fête après des années de disette mais…Micca nomi. N’est-ce pas Alain ? N’est-ce pas Mario ? Et bien d’autres encore. Mais tous étaient heureux de se retrouver, de parler du bon vieux temps, des rencontres au couteau et des après-matches d’anthologie…
Retrouvailles et bonne humeur
La Cour Anglaise de la maison Carrée semblait bien trop petite pour accueillir ce beau monde, des retrouvailles pleines d’émotion pour beaucoup, à l’image de Marius Trésor retrouvant des amis et membres de sa famille, Roland Courbis et ses potes de toujours, Toussaint notamment, sans parler des vieux supporters qui n’auraient manqué sous aucun prétexte ces retrouvailles avec leurs idoles de l’époque, dont certains ne pensaient même pas revoir la Corse un jour. Ils sont venus de toute la France pour retrouver le stade François Coty de leurs débuts, certains comme Pin, à l’époque prêté par Lyon qui se rappelle ses premiers pas dans le stade et la foule, que de souvenirs au milieu de ces retrouvailles dans la bonne humeur. Dans un coin de la cour, sur une chaise, Jeannot Ottavy, sans doute l’un des plus anciens aujourd’hui, que chacun est venu saluer avec beaucoup de respect.
Personne n’a oublié le fabuleux jeu de Jeannot, ses dribles, ses tirs en pivot ni même sa bonne humeur communicative…
C’est à l’initiative de Léon Luciani et les membres anciens et nouveaux du club que cela a pu être mis sur pied. En quelques mois, ils ont réuni les conditions et profité de la venue de Niort pour fêter cet événement de grande importance. Pensez, la première équipe Corse à se retrouver parmi l’élite.
Quelle époque fabuleuse, du vieux stade Jean Lluis à Timizzolu, de l’ombre à la lumière pour ces jeunes footballeurs venus renforcer l’équipe locale. Aujourd’hui, ils sont tous grands pères mais n’ont rien oublié de cette épopée parmi l’élite et en parlent avec beaucoup de fierté.
A l’Ours !
« Messieurs, vous avez fait rêver des générations entières d’Ajacciens dans une période faste pour la ville mais aussi pour ceux qui réalisèrent des carrières exceptionnelles dans d’autres grands clubs et même au plus haut niveau, à l’image de Marius Trésor et cela compte beaucoup pour les Ajacciens. Je suis très fier de vous recevoir aujourd’hui, vous avez écrit le nom du club en lettres d’or et Ajaccio vous doit beaucoup. Cette époque représentait des valeurs, l’image d’Ajaccio était véhiculée par cette équipe et les Ajacciens vous le rendent bien. Je suis très ému car je suis passionné de foot et vous connaître est un réel plaisir. J’ai tout de même eu la chance de voir le club retrouver la première division au début des années deux mille. Il ne faut pas oublier le passé pour écrire le futur. A Ajaccio, personne ne vous a oublié. A l’ours » s’est exprimé Laurent Marcangeli, qui a retrouvé tout ce beau monde autour du verre de l’amitié.
Retrouvailles et bonne humeur
La Cour Anglaise de la maison Carrée semblait bien trop petite pour accueillir ce beau monde, des retrouvailles pleines d’émotion pour beaucoup, à l’image de Marius Trésor retrouvant des amis et membres de sa famille, Roland Courbis et ses potes de toujours, Toussaint notamment, sans parler des vieux supporters qui n’auraient manqué sous aucun prétexte ces retrouvailles avec leurs idoles de l’époque, dont certains ne pensaient même pas revoir la Corse un jour. Ils sont venus de toute la France pour retrouver le stade François Coty de leurs débuts, certains comme Pin, à l’époque prêté par Lyon qui se rappelle ses premiers pas dans le stade et la foule, que de souvenirs au milieu de ces retrouvailles dans la bonne humeur. Dans un coin de la cour, sur une chaise, Jeannot Ottavy, sans doute l’un des plus anciens aujourd’hui, que chacun est venu saluer avec beaucoup de respect.
Personne n’a oublié le fabuleux jeu de Jeannot, ses dribles, ses tirs en pivot ni même sa bonne humeur communicative…
C’est à l’initiative de Léon Luciani et les membres anciens et nouveaux du club que cela a pu être mis sur pied. En quelques mois, ils ont réuni les conditions et profité de la venue de Niort pour fêter cet événement de grande importance. Pensez, la première équipe Corse à se retrouver parmi l’élite.
Quelle époque fabuleuse, du vieux stade Jean Lluis à Timizzolu, de l’ombre à la lumière pour ces jeunes footballeurs venus renforcer l’équipe locale. Aujourd’hui, ils sont tous grands pères mais n’ont rien oublié de cette épopée parmi l’élite et en parlent avec beaucoup de fierté.
A l’Ours !
« Messieurs, vous avez fait rêver des générations entières d’Ajacciens dans une période faste pour la ville mais aussi pour ceux qui réalisèrent des carrières exceptionnelles dans d’autres grands clubs et même au plus haut niveau, à l’image de Marius Trésor et cela compte beaucoup pour les Ajacciens. Je suis très fier de vous recevoir aujourd’hui, vous avez écrit le nom du club en lettres d’or et Ajaccio vous doit beaucoup. Cette époque représentait des valeurs, l’image d’Ajaccio était véhiculée par cette équipe et les Ajacciens vous le rendent bien. Je suis très ému car je suis passionné de foot et vous connaître est un réel plaisir. J’ai tout de même eu la chance de voir le club retrouver la première division au début des années deux mille. Il ne faut pas oublier le passé pour écrire le futur. A Ajaccio, personne ne vous a oublié. A l’ours » s’est exprimé Laurent Marcangeli, qui a retrouvé tout ce beau monde autour du verre de l’amitié.
Envoyer à un ami
Version imprimable
